Les cryptomonnaies à l’ordre du jour du forum économique mondial
3 janvier 2021
Les cryptomonnaies à l’ordre du jour du forum économique mondial
Le rapport est dirigé par Meltem Demirors, chef stratégique chez CoinShares et Cuy Sheffield, responsable cryptomonnaies chez Visa. Il ne traite que des cryptomonnaies, et pas de la blockchain et des possibilités techniques attenantes. En somme, c’est un rapport économique.
Introduction
Le rapport commence par une introduction sur le potentiel des cryptomonnaies à créer des nouveaux marchés et à devenir une nouvelle valeur d’échange qui profitera à la croissance de l’économie mondiale.
Partie 1 : Définitions
La première partie décrit les principales cryptomonnaies et détaille leurs origines et leurs objectifs.
Partie 2 : Applications
Une deuxième partie est dédiée aux applications accessoires utiles pour les utilisateurs de cryptomonnaies. L’exemple le plus notable est le Protocole Bancor qui permet d’échanger plus facilement des cryptomonnaies contre d’autres sans avoir besoin d’une plateforme centralisée. Un autre exemple est le Protocole Compound (aussi appelé COMP) qui permet le prêt de cryptomonnaies.
Partie 3 : Guide
La pénultième partie du rapport est un guide pour les investisseurs en cryptomonnaies. Y sont répertoriés les différentes applications favorisant l’accès aux cryptos et leurs utilisations. Il s’agit essentiellement de banques en ligne (telle que la Deutsche Bank Digital Asset Custody) ou de plateformes financières décentralisées comme Binusu, qui a pour vocation de démocratiser les cryptomonnaies en Afrique.
Partie 4 : Développement durable
Enfin, la dernière partie s’attarde sur les possibilités environnementales et sociales des cryptos. On peut mentionner l’exemple du fonds de l’UNICEF qui permet de recevoir, conserver et décaisser des dons faits en Bitcoin.
C’est un grand pas pour les cryptomonnaies dont la plus célèbre, le Bitcoin a atteint les 30 000 $ récemment) car la parole du Forum Économique Mondial (WEF) est toujours très écoutée. Après les entreprises privées, suivies des États, viennent enfin les organisations mondiales.